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 Fanfiction Twilight : Et ne sous-estimons pas le language du corps

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AuteurMessage
Monroe C. Everinghton

    Oh ! C'est Monroe C. Everinghton ♥
L'Homme est une prison l'âme reste libre.

Love : She could be the one....but it's a secret! Coz' she is more wonderful and beautiful for me...
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Fanfiction Twilight : Et ne sous-estimons pas le language du corps Vide
MessageSujet: Fanfiction Twilight : Et ne sous-estimons pas le language du corps   Fanfiction Twilight : Et ne sous-estimons pas le language du corps I_icon_minitimeMar 18 Mai - 0:50

Je ne sais pas si je poste au bon endroit ^^


Fanfiction en 6 Chapitres écrite pour le concours Hot Summer sur Fanfic.net, dîtes moi ce que vous en pensez, histoire que je l'améliore avec la date butoire Wink


HOT SUMMER CONTEST
Titre de la fiction : Et ne sous-estimons pas le langage du corps
Auteur : Aunda
Dislaimer : Les personnages appartiennent à Stephanie Meyer.

Chapitre 1 : Sainte-Clothilde sous la lave.

Le jour commençait à peine à se lever et le soleil faisait une timide apparition entre les cols endormis des montagnes. De là où elle se trouvait, Alice pouvait apercevoir, à travers la brume matinale, l'éveil de la forêt. Les arbres sombres esquissaient des taches d'émeraudes et de malachites, les timides rayons d'or de l'astre solaire venaient embraser le fleuve endormis, changeant l'eau en une palette de bleus allant du safre au bleu de Prusse en passant par le caeruléum, le tout pailletés de reflets lumineux. En son sein, un arbre mort se laissait emporter par le courant capricieux, achevant de réveiller le cour d'eau en une multitude de petits remous impitoyables. Sur la rive, le bistre et le sencis régnaient en maîtres, nullement inquiétés par les quelques brins d'herbes impétueux poussant ça et là le long de la berge. Autour du fleuve dominaient d'imposantes montagnes, écrasant de leur superbe toute la région et recouverte d'une jungle dense qui aurait pu effrayer la jeune femme si elle n'avait pas tant été fascinée par l'abondance de couleurs exotiques lui rappelant presque son petit studio parisien.
Mais Paris était à présent bien loin et même si elle ne pouvait nier avoir quelque peu le mal du pays, elle n'avait jamais aussi peu regretté sa décision de partir. A l'heure actuelle, assise sur le rebord de la falaise surplombant ce majestueux fleuve, à environ cinq cent mètres au-dessus de lui, le dos adossé à un des piquets de sa tente, les jambes à moitié sur une aspérité, à moitié dans le vide, elle affichait le sourire radieux et les yeux éblouis d'une enfant découvrant le pays imaginaire.
Une larme roula sur sa joue sans qu'elle ne s'en aperçoive. Pleure-t-on devant la beauté?
Elle resta là une bonne heure encore avant que le camp ne se mette à bourdonner telle une ruche. Il fallut défaire les tentes, les empaqueter, s'occuper de tout ce que l'on avait déballé la veille et vérifier la présence de ce qui ne l'avait pas été. Quand on fut fin prêts, on se remit en route sous la chaleur écrasante et pourtant encore matinale. Le lieu de destination était encore à un dizaine d'heures de là et le temps pressait. Sainte-Clothilde, voilà où ils se rendaient, une petite ville plus en aval perdue dans la jungle et autrefois fondée par les français du temps de la colonisation pour exploiter le diamant. Aujourd'hui victime d'une violente éruption volcanique. Une partie de l'armée, les aides humanitaires et mêmes les casques bleus de l'ONU étaient déjà sur place ou tout du moins en route pour enrayer les blessés et la panique. Des rumeurs de malédictions et de "politique silencieuse" de la part des gouvernements mondiaux commençaient déjà à circuler dans le pays et à l'échelle internationale. Compte tenu de la position géographique de la ville, les accès étaient longs et compliqués, l'équipe médicale dont faisait partie Alice avait été déposée par avion à l'aéroport déservant la capitale, avait poursuivit en jeep jusqu'à la limite des zones praticables puis avait continué à pied quelques heures avant d'établir un camp pour la nuit.
On arriva tard dans la soirée et vit avec plaisir l'entrée de la ville se dessiner car si voyager au milieu de la jungle n'avait rien de particulièrement rassurant et ce malgré la présence de guides armés, c'était surtout l'épuisement due à la fois au trajet, aux charges transportées, à la chaleur et à l'humidité étouffantes qui était le plus insupportable. La première occupation fut pourtant de sécuriser le matériel emporté, puis, une fois cela fait, de monter le camp et les tentes à usage médical. Une fois le tout sommairement et grossièrement installé, on accueilli déjà les premiers blessés. Il était environ quatre heures du matin. Des roulements de garde se mirent très vite en place et les deux médecins et les quatorze infirmières se scindèrent en deux groupes égaux. Changements toutes les deux heures. Autant dire qu'Alice dormit peu cette nuit là, de service toute son attention se cantonnait aux patients et en repos, les images de la douleur lue dans les yeux des gens l'empêchaient de trouver le sommeil.
Enfin vint l'aube. Mais au lieu, comme le veut la croyance populaire, d'amener l'espoir ou le soleil, se furent deux militaires qui entrèrent. L'un d'eux avait peut-être en effet les cheveux dorés mais son regard était froid. Les deux hommes saluèrent poliment les personnes présentes d'un signe de la tête puis se tournèrent vers l'infirmière en chef de la mission humanitaire. Celui qu'Alice décida de surnommer "mister gueule d'ange au regard polaire" s'adressa à la responsable en anglais, ses quelques mots ne parurent pas plaire aux bilingues présents qui froncèrent les sourcils. La jeune infirmière bénévole n'étant pas de ceux-là, elle ne put que tenter de lire sur les visages, et prit un soin tout particulier à étudier celui du beau militaire blond qui, en dépit de sa colère évidente pour la réponse obtenue, finit par le sentir. L'instinct probablement. Aussitôt, il changea de cible et riva ses yeux bleus glacés dans ceux verts et pétillants d'Alice qui ne céda pas sous son regard, bien au contraire. Elle le soutint, y ajoutant même un sourire lumineux. Une lutte silencieuse s'engagea entre les deux jeunes gens, chacun retint son souffle. Mais alors qu'Alice esquissait sa petite moue boudeuse en signe d'abandon, le militaire fit brusquement demi-tour et sortit de la tente en poussant le bout de tissus avec violence. Son compagnon resta figé, fixant l'entrée de la tente éberlué, un air idiot sur le visage et mit quelques minutes avant de retrouver ses esprits. Une fois revenu à lui, il paru gêné par la situation et fila après un rapide salut.
On félicita frénétiquement Alice d'avoir tenu tête au curieux militaire puis les soins reprirent dans une ambiance chaleureuse voire même étouffante par vingt-huit degrés dans une humidité constante. Une impression de moiteur, de lourdeur flottait dans l'air, rendant le travail plus pénible. Lorsqu'à la nuit venue le service devint plus calme, elle se hasarda à demander la traduction des paroles du fameux blond à l'infirmière et chef, Lydie.
"-Monsieur Withlock tenait à ce que l'on ne s'occupe pas de ses affaires.
-Mais encore?
-Disons qu'il a clairement fait entendre que nous, civils ignorants, ne devions nous concentrer que sur les blessés et que lui, homme expérimenté, était chargé du reste. En gros soigne et ne pense pas.
-Mhm, charmant personnage.
-Comme tu dis, le stéréotype du militaire imbu de lui-même...
-J'aurais pas dû te poser la question finalement, ça gâche tout! Je m'imaginais un tout autre discours...plus...sexy.
-Alice! grogna Lydie.
-Attends tu l'as vu? Tu as entendu sa voix? Oh mon Dieu, il est juste troooop beau!"
Elle se mit à sautiller partout en frappant des mains sous l'œil inquiet et énervé de son amie.
"-Et dans son cas c'est "soit beau et tais-toi"! Alice fais attention il est dangereux!
-T'en fais pas Lyly, de toute façon je ne comprends pas un mot de ce qu'il raconte alors le dicton marche presque non?
-Alice! On est ici pour aider des gens pas pas pour trouver l'âme soeur!
-Facile à dire pour toi, ton chéri t'attends en France!
-Alice, je suis sérieuse!
-Bien je capitule, de toute façon essaie de nouer une relation sans comprendre ce que l'autre raconte."
Les deux jeunes femmes se regardèrent et rirent avant de retourner travailler.
* * *
La nuit fut plus calme que la précédente et Alice put enfin récupérer un peu du voyage. Les deux jours suivants furent un copier coller du premier, mais au troisième enfin, elle décida de sortir un peu des tentes de la mission pour aller voir comment la population s'organisait au dehors. La ville avait presque été entièrement détruite par l'éruption, il ne restait plus grand chose, quelques maisons par ci, par là, des abris construits à la va-vite pour se protéger du froid et de la pluie, et dans chaque rue, des militaires armés jusqu'aux dents faisant régner l'ordre par la peur. Déambulant entre les civils, elle nota l'odeur de la lave séchée, la coupure net de la ville à trois quart ensevelie sous la roche volcanique, les camps de réfugiés sur son dessus et poussa jusqu'à l'extrémité de la ville où se trouvait le camp militaire. Elle fixa un long moment ces larges tentes kaki jusqu'à ce qu'un homme déboule devant elle.
"-Are you doctor? (Êtes-vous médecin?)
-Euh...yes i am but...(Euh...oui je le suis mais...) répondit-elle avec un accent épouvantable."
Cela paru pourtant suffire à l'homme qui l'attrapa par le poignet et la conduisit sous la tente aux couleurs de l'armée. Il y avait là plusieurs hommes attroupés autour d'un autre allongé sur un lit. Il paraissait mal en point, sa jambes saignait. Alice s'approcha de la blessure et vit qu'elle avait été désinfectée au préalable.
"-Can you sew on him please?(Pouvez-vous le recoudre s'il-vous-plait?)"
Alice se tourna vers celui qui avait prononcé ces mots. Oh non. C'était bien sa veine ça, "mister gueule d'ange au regard polaire" en personne la regardait avec attention, attendant visiblement une réponse, sauf que...
"-Sorry, i don't understand...(Désolée, je ne comprends pas)"
Les hommes se regardèrent entre eux, soupirèrent d'énervement, levèrent les yeux au ciel puis mimèrent le verbe coudre. Alice compris, hocha la tête, leur fit signe de s'écarter et commença son œuvre tout en sentant le regard du blond braqué sur elle. C'était une situation vraiment désagréable, pas désagréable en soit -il était tout de même divinement beau- mais désagréable parce qu'elle se sentait épiée, scrutée, analysée par ce regard bleu glacial qui faisait naître en elle des frissons de chaleur...

J'éditerais probablement les différents chapitres plusieurs fois avant la date de fin du concours donc il y aura surement pas mal de changements et d'allongements dans l'histoire. Sinon, je suis ouverte à toutes vos critiques (Aaaah l'orthographe ^^), voilà, dîtes moi ce que vous avez aimé, ce que vous n'avez pas aimé et ce que vous imaginez pour les autres chapitres.
Bisous
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